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Les Départementeurs attardes
Alors que des départementeurs ont retrouvé leur conscience et la raison, certains pataugent encore dans l’illusion qu’ils se font du département.
Sous l’apparence de modernité, ils sont en réalité les plus archaïques et les plus attardés de la société maoraise.
Ils continuent à pratiquer la troque d’un genre particulier:
Ils troquent leur nom, leur prénom, leur personnalité, leur identité, leur religion, leur métier… contre un vil prix: le département, l’espoir d’argent facile .
Aveuglé par le désir de toujours s’enrichir, ils ne se rendent même pas compte que si leur situation actuelle à Mayotte est un peu meilleure, ce n’est pas à cause du département mais au contraire à cause de la situation particulière de Mayotte, de la spécificité dont l’île bénéficie.
Si elle était alignée aux normes départementales depuis tout le temps que les départementeurs le réclament, quels maorais auraient été instituteurs, infirmiers, avocats, huissiers, entrepreneurs, commerçants…?
En réalité très peu si non personne! L’expérience de collectivité départementale s’est avéré être un échec cuisant!!
Tout ce beau monde a profité de cette situation particulière, de ces spécificités, pour se faire faire un métier, se faire embaucher dans le public ou dans le privé pour la plupart sous la collectivité territoriale. Les entreprises, commerces, et autres services qui les emploient, ont eux-mêmes bénéficié de certains privilèges spécifiques pour s’installer, importer, embaucher …
La collectivité elle-même, les communes et autres syndicats ont également bénéficié des particularités et des spécificités pour fonctionner.
Ces individus ne voient pas tout ça.
Et dès qu’ils sont un peu riches, ils ne voient que la suppression des particularités, des spécificités, notamment du droit local.
C’est comme s’ ils fermaient la porte pour empêcher d’autres d’être un peu riches comme eux. C’est le cas des syndicats d’instits, de taximen…qui en réclamant le concours national, ont fermé l’accès à ces métiers aux jeunes maorais car ils sont moins préparés que les métropolitains, pour passer les examens d’entrée.
Voici un huissier qui suit leur mauvais exemple!
Quelle ingratitude! quel complexe!
Oui, ignorants et complexés ,beaucoup d’entre eux, renient ce qu’ils sont, comoriens musulmans et ils imitent le français non musulman en voulant changer de nom, de statut… alors qu’ils ont les plus beaux noms et le plus parfait statut , de musulman.
Moussa M’colo Assani est devenu Georges Nahouda.
Ils suivent l’exemple de ce genre de mec.
C’est la honte territoriale!!
A L’évidence, il ne faut pas compter sur ces gens là pour défendre leurs propres intérêts corporels et professionnels, et surtout pas pour défendre les intérêts des Maorais, de Mayotte et de la Région.
Ils agissent en mercenaires. Au vu d’argent, ils sont prêts à tout troquer et à tout sacrifier même leur propre vie.
Ces gens là ne voient pas plus loin que leurs propres titres et leurs propres poches et sont prêts à s’allier avec les diables: les colons, les racistes, les esclavagistes…
OBI
Sous l’apparence de modernité, ils sont en réalité les plus archaïques et les plus attardés de la société maoraise.
Ils continuent à pratiquer la troque d’un genre particulier:
Ils troquent leur nom, leur prénom, leur personnalité, leur identité, leur religion, leur métier… contre un vil prix: le département, l’espoir d’argent facile .
Aveuglé par le désir de toujours s’enrichir, ils ne se rendent même pas compte que si leur situation actuelle à Mayotte est un peu meilleure, ce n’est pas à cause du département mais au contraire à cause de la situation particulière de Mayotte, de la spécificité dont l’île bénéficie.
Si elle était alignée aux normes départementales depuis tout le temps que les départementeurs le réclament, quels maorais auraient été instituteurs, infirmiers, avocats, huissiers, entrepreneurs, commerçants…?
En réalité très peu si non personne! L’expérience de collectivité départementale s’est avéré être un échec cuisant!!
Tout ce beau monde a profité de cette situation particulière, de ces spécificités, pour se faire faire un métier, se faire embaucher dans le public ou dans le privé pour la plupart sous la collectivité territoriale. Les entreprises, commerces, et autres services qui les emploient, ont eux-mêmes bénéficié de certains privilèges spécifiques pour s’installer, importer, embaucher …
La collectivité elle-même, les communes et autres syndicats ont également bénéficié des particularités et des spécificités pour fonctionner.
Ces individus ne voient pas tout ça.
Et dès qu’ils sont un peu riches, ils ne voient que la suppression des particularités, des spécificités, notamment du droit local.
C’est comme s’ ils fermaient la porte pour empêcher d’autres d’être un peu riches comme eux. C’est le cas des syndicats d’instits, de taximen…qui en réclamant le concours national, ont fermé l’accès à ces métiers aux jeunes maorais car ils sont moins préparés que les métropolitains, pour passer les examens d’entrée.
Voici un huissier qui suit leur mauvais exemple!
Quelle ingratitude! quel complexe!
Oui, ignorants et complexés ,beaucoup d’entre eux, renient ce qu’ils sont, comoriens musulmans et ils imitent le français non musulman en voulant changer de nom, de statut… alors qu’ils ont les plus beaux noms et le plus parfait statut , de musulman.
Moussa M’colo Assani est devenu Georges Nahouda.
Ils suivent l’exemple de ce genre de mec.
C’est la honte territoriale!!
A L’évidence, il ne faut pas compter sur ces gens là pour défendre leurs propres intérêts corporels et professionnels, et surtout pas pour défendre les intérêts des Maorais, de Mayotte et de la Région.
Ils agissent en mercenaires. Au vu d’argent, ils sont prêts à tout troquer et à tout sacrifier même leur propre vie.
Ces gens là ne voient pas plus loin que leurs propres titres et leurs propres poches et sont prêts à s’allier avec les diables: les colons, les racistes, les esclavagistes…
OBI
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